Cette carte rassemble les acteuri⸱ces des alternatives forestières partout en France et facilite leur mise en réseau. Elle vous est proposée par Le Réseau pour les Alternatives Forestières.
Qui peut se référencer sur cette carte ?
- les structures citoyennes collectives (branche locale du RAF, collectif, association, Groupement Forestier Citoyen et Ecologique ®, fonds de dotation, syndicat, ect...)
- les structures professionnelles du secteur privé (SCOP, SAS, entrepreneur⸱se individuel⸱le, ect...)
...qui développent des alternatives forestières et adhèrent au Réseau pour les Alternatives Forestières (dit "le RAF"). Le RAF promeut une sylviculture écologique et solidaire à travers la Charte pour des forêts vivantes.
Vous faites partie d’une structure répondant à ces critères ? Nous vous invitons à remplir un formulaire en ligne pour la visibiliser !
Qui n'est pas recensé sur cette carte ?
Les missions du RAF sont centrées sur le déploiement des alternatives forestières et plus particulièrement l'émergence de filières forêts-bois locales éthiques et solidaires en France métropolitaine. D'autres thématiques que nous soutenons sont en lien étroit avec les alternatives forestières mais ne représentent pas notre "coeur de métier". Ainsi, cette carte n'a par exemple pas vocation à recenser les initiatives liées à l'éducation a l'environnement ou les initiatives centrées sur l'arbre ou de l'agroforesterie : il existe déjà d'autres super réseaux dédiés !
Les adhérent⸱es individuel⸱les, les sympathisant⸱es et les structures du secteur public ne sont pas référencé⸱es non plus pour le moment. Nous sommes bien conscient⸱es que vous êtes des acteur⸱ices incontournables des alternatives forestières mais il a fallu faire quelques choix stratégiques et techniques pour cet outil qui met l'accent sur les dynamiques collectives.
On vous fait confiance !
Le RAF ne propose pas un suivi de terrain qui garantirait la qualité des pratiques professionnelles de chaque entreprise mais est en droit de retirer de la carte des structures dont la démarche serait trop éloignée des valeurs de la Charte pour des forêts vivantes.